Alors que les régulateurs alertent aujourd’hui les institutions financières sur les risques de transition dont l'essentiel est encore venir, les risques physiques liés au changement climatique sont déjà bien présents et doivent inciter les acteurs à développer des politiques dédiées. D’autant que ce n’est pas insurmontable, selon un rapport publié par I4CE à partir du projet européen ClimINVEST.
Le premier émetteur de gaz à effet de serre au monde vient d’inaugurer son marché national du carbone, comme il l’avait promis quelques mois avant la COP21. Comment fonctionne-t-il, et quelle peut être sa contribution réelle à l’atteinte de l’objectif de neutralité carbone de la Chine en 2060 ?
Alors que les premières fréquences ont été attribuées aux opérateurs à l’automne dernier sans évaluation environnementale préalable, les débats sur l’impact climatique de la 5ème génération de réseaux téléphoniques et, plus généralement, du secteur du numérique, sont loin d’être clos. Un rapport de Haut Conseil pour le Climat apporte de nouveaux éléments.
En attendant la publication en avril prochain du rapport du NGFS sur les scénarios climatiques à l’horizon 2050 qui pourraient mesurer l’exposition des banques et aiguiller le verdissement de leur future politique, Reclaim Finance et Oil Change International critiquent les indicateurs retenus, trop optimistes et minimisant de ce fait les efforts à réaliser pour atteindre l'Accord de Paris. Explications.
Alors que les entreprises se sont saisies des objectifs de développement durable, le travail sur l’ODD 17 n’a pas toujours été bien compris. Dommage, car cet ODD "généraliste" comporte une dimension méthodologique qui permet d’avoir une démarche globale plus efficace. Analyse.
Mobilisant 20 milliards d’euros, les CEE (Certificats d’économie d’énergie) représentent un puissant levier pour atteindre les objectifs de la stratégie nationale bas carbone (SNBC) et de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Le projet de décret pour leur cinquième période (2022-2025) est donc examiné à la loupe par les acteurs du secteur, provoquant au passage de vives controverses.
Au Royaume Uni, la chaîne de supermarchés Tesco fait face à sa première résolution externe d’actionnaires, qui porte sur une question de santé publique : la lutte contre l’obésité.
Afin de répondre à la demande de ses clients en France et à l'international, le cabinet de conseil RSE renforce son pôle dédié.
La Direction Générale du Trésor et le Commissariat général au développement durable viennent de soumettre à consultation le décret d’application de l’article 29 de la loi énergie-climat de 2019. Venant remplacer le décret issu de l’article 173-VI de la loi de Transition énergétique pour la croissance verte de 2015 et compléter le Règlement Disclosure européen, il demande aux investisseurs de compléter leur reporting extrafinancier sur leur stratégie ESG et de renforcer leurs méthodologies, en particulier en matière de climat et de biodiversité. Décryptage.
Les investisseurs l'attendaient avec impatience et une pointe d'inquiétude : les trois agences de supervision européennes - ESMA, EIOPA et EBA - livrent la version finale du Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). Sa mise en consultation jusqu'en septembre dernier avait en effet soulevé de nombreuses réactions sur sa complexité de mise en oeuvre et la disponibilité des métriques nécessaires. Cette version finale, qui se dit "plus équilibrée", prévoit un jeu resserré d'indicateurs ESG communs ainsi que des disclosures optionnelles.
L’analyse simple et rapide du narratif des rapports extrafinanciers
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