Le réseau d'écoles alternatives Montessori 21, agréées ESUS, lève 1 M€ auprès du fonds Impact Partenaires, spécialisé sur les territoires sensibles et les entreprises sociales, pour "concilier développement du réseau et impact social".
80% des 45 millions de tonnes de déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) produits annuellement dans le monde ne sont pas correctement collectés et recyclés. Une partie d’entre eux sont exportés illégalement vers des pays en développement - particulièrement en Afrique et en Asie- où ils posent un problème sanitaire et environnemental majeur. Un trafic illicite qui prend de multiples formes et génère des milliards d’euros de bénéfice.
Près de 4 milliards de passagers, plus de 50 millions de tonnes de fret chaque année et 2 à 3% des émissions mondiales de Co2. C’est ce que pèse le transport aérien international. Exclu -tout comme le transport maritime - du champ d’application de l’Accord de Paris, le secteur a signé en octobre 2016 un accord dénommé CORSIA (Carbon Offsetting and Reduction Scheme for International Aviation). Son objectif : une croissance ‘neutre en carbone’ à partir de 2020. Une neutralité qui reposera en fait sur un mécanisme de compensation, dont les modalités ne sont pas clairement établies. Face à l’augmentation du trafic aérien, seuls les biocarburants pourraient permettre, à moyen terme, une réduction des émissions. Encore faut-il qu’ils soient durables. Enquête.
Forfait mobilité durable, soutien à la mise à disposition de vélos à assistance électrique, développement de pistes cyclables… Pour Elodie Trauchessec, animatrice mobilité à l’Agence de l’environnement et de la maîtrise des énergies (Ademe), le plan vélo, présenté par le gouvernement le 14 septembre, contient des mesures propres à développer son utilisation. Surtout si les entreprises s’en saisissent.
Le distributeur francilien Le Comptoir Local rejoint le spécialiste historique des marchés "bio".
Le bâtiment intelligent, ou "smart building", promet d’être un pilier de la transition énergétique. Alors que les bâtiments représentent 44% de la consommation énergétique nationale et plus de 20% de nos émissions de Co2, les nouvelles technologies vont venir révolutionner leur gestion énergétique : production d’énergie renouvelable, optimisation de la consommation ou encore alimentation de bâtiments voisins et de véhicules électriques. Les acteurs du secteur s'organisent. Ils se sont réunis à Lyon les 4 et 5 septembre dernier, à l’initiative de la Smart Building Alliance (SBA). Avec un défi de taille à relever concernant la solidité des modèles économiques. En cause : les questions juridiques liées aux données.
La cimenterie, une industrie très émettrice de CO2, réfléchit depuis longtemps à la réduction de son empreinte carbone. Le vendéen HGCT vient de lever 10 M€ pour lancer la production d'un "ciment vert" grâce à un procédé chimique sans cuisson sur lequel elle reste très (trop) discrète. Une révolution ?
Il s’agit du premier mode de transport pour le commerce international. Il avait pourtant été exclu du champ d’application de l’Accord de Paris en 2015. Ce n’est qu’en avril 2018 que le secteur du transport maritime a signé un accord de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, avec un objectif d’au moins 40% d’ici 2030. Un accord non contraignant à ce stade pour un secteur régulièrement qualifié d’attentiste en matière climatique, et dont les modalités d’application ne seront détaillées que fin octobre, lors de la 73ème session du comité de la protection du milieu marin (MEPC) de l’Organisation Maritime Internationale (OMI). Et dont la réussite passe nécessairement par le développement de nouvelles technologies de propulsion.
La Plateforme RSE recommande aux entreprises et aux territoires de coopérer activement pour favoriser des politiques RSE locales et soutenir le développement économique des lieux où les sociétés, des PME aux plus grands groupes, sont implantées. Elle formule des préconisations concrètes.
Alors que le fonds d'investissement spécialisé Food & Beverage annonce son closing final, Amundi Private Equity s'intéresse au secteur des nouveaux modes de production et de transformation agroalimentaires avec un investissement et prépare son fonds dédié pan-européen.
L’analyse simple et rapide des rapports RSE
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