Le gaz renouvelable représente aujourd’hui une infime proportion des besoins hexagonaux. Mais producteurs, distributeurs et entreprises déjà utilisatrices s’accordent à dire qu’il s‘agit d’une énergie d’avenir. Seul risque à l’horizon : une fiscalité qui pourrait devenir défavorable si l’État envisageait de compenser des pertes de revenus générées par le recul des énergies fossiles en le taxant demain plus qu’aujourd’hui.
À la suite des évolutions prévues par la loi El Khomri, qui prévoit l’individualisation du suivi médical des salariés, la start-up propose aux services de santé des entreprises une solution digitale personalisée se voulant plus efficace que la médecine du travail classique. L'entreprise se rémunère sur les économies réalisées. Elle vient de lever un deuxième tour de 20 M€ auprès de business angels et de l'assureur AXA.
Dans le sillage de Google, de Microsoft ou d’Amazon, de plus en plus de grands groupes internationaux s’engagent à augmenter la part des énergies renouvelables dans leur mix énergétique, via la signature de CPPA (Corporate Power Purchase Agreement) conclus sur des durées de 15 à 20 ans, en moyenne. Cette tendance, partie des États-Unis, a commencé à gagner l’Europe (Royaume-Uni, pays nordiques, Pays-Bas en tête) et intéresse aujourd’hui des entreprises hexagonales. Reste que la mise en œuvre de cette volonté se heurte à de nombreux obstacles tant économiques que réglementaires. Sans parler de la nécessité de régler la question des garanties apportées aux différents acteurs de la filière.
Initialement lancée en 2011 par l'institut Négawatt et Enertech sur le marché parfois trouble de la rénovation énergétique de l'habitat individuel, la jeune pousse "solidaire" lève 1,2 M€ auprès d'un assureur et d'un industriel pour développer son approche auprès des territoires.
En plus de la fabrication de véhicules et matériels roulants, les industriels s'intéressent de plus en plus au logiciel. Troisième transaction du secteur en un an, le géant allemand de l'ingéniérie investit au capital d'une jeune pousse française spécialisée dans l'optimisation des réseaux de transports en commun.
Le secteur de la mobilité électrique est en plein développement et pourrait représenter 30% du parc automobile international en 2040. Une croissance boostée par les encouragements des pouvoirs publics, qui implique de sérieux enjeux au niveau de l’approvisionnement en matières premières nécessaires à la fabrication des batteries. Parmi eux, bien sûr, les aspects sociaux, environnementaux et géopolitiques liés à l’extraction des matériaux. Mais également la question cruciale de leur disponibilité. Les dernières études et scénarios estiment que la situation sera critique sur le cobalt, et ce dès le début des années 2020. De quoi s’interroger fortement sur le futur du véhicule électrique.
Le marché des énergies renouvelables est mature et n’a plus besoin d’être soutenu par les acteurs publics. C’est l’analyse de Serge Savasta. Cet associé gérant d’Omnes Capital, qui pilote la branche infrastructures du fonds d'investissement, regrette les freins actuels du marché français des EnR. Mais il se montre aussi optimiste sur le développement de projets futurs, et sur leur financements. Entretien.
40% des centrales à charbon chinoises perdent de l’argent. 95% pourraient se retrouver dans la même situation d’ici 2040. Ce sont les conclusions d’une étude publiée ce jeudi 11 octobre 2018 par le think tank anglais Carbon Tracker. Avec une démarche un peu particulière, puisqu’en l’absence de données fiables sur le secteur du charbon chinois, Carbon Tracker a mis au point une méthodologie basée sur l’analyse d’images satellitaires.
Viser la neutralité carbone de la France en 2050. C’est l’objectif du Plan Climat de 2017, qui cherche à accélérer la mise en œuvre de l’Accord de Paris. Un concept qui se décline au niveau territorial, sectoriel et organisationnel alors que le secteur privé communique de plus en plus sur ses engagements en matière de neutralité carbone. Sauf que les stratégies sont essentiellement basées sur de la compensation. Des cabinets de conseil, dont Carbone 4, travaillent à la définition d’un standard d’évaluation basé sur une approche scientifique. Ils soulignent l’importance de conditionner la compensation à une véritable réduction des émissions. Explications.
Le gestionnaire d’actifs renforce sa branche énergies renouvelables/bâtiments durables qui pèse pour un tiers de son activité.
L’analyse simple et rapide des rapports RSE
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