Concomitamment à la signature d'un contrat privé de fourniture d'électricité verte (Corporate PPA), le développeur et exploitant de projets d'énergie renouvelable boucle deux lignes de financements dont les taux d'intérêts sont indexés sur sa performance extra-financière. Une approche de crédit responsable qui s'est fortement développée depuis 2018 entre les entreprises et leurs banquiers, mais encore inédite dans le financement de projets d'énergies renouvelables (EnR). Explications avec les parties prenantes de l'opération.
Huit institutions financières européennes, dont Crédit Agricole et BNP Paribas, ont continué à investir et à financier à hauteur de 16 milliards d’euros les producteurs d’électricité les plus polluants du continent, responsables à eux seuls de plus de la moitié des émissions de CO2 provenant du charbon, selon une coalition d’ONG dont les Amis de la Terre
Voltalia et Boulanger viennent de signer le deuxième contrat d'achat direct d'électricité photovoltaïque (ou Corporate Purchasing Power Agreement) en France. Un mécanisme d'achat ouvert depuis la Loi de transition énergétique de 2016 qui recouvre plusieurs types de fléchage des électrons d'origine renouvelable - et qui modifie le financement de la filière. Le point.
Le fonds d'investissement dédié aux projets d'énergies renouvelables prend un ticket dans la valorisation des ressources locales méthanisables.
Risque de pénurie, flambée des coûts, dépendance trop forte aux importations chinoises… Dans une note, le cabinet PwC met en garde sur les dangers que fait peser l’utilisation de terres rares sur la production d’éoliennes et particulièrement de machines offshore. Une menace que tente de relativiser le syndicat France Énergie Éolienne.
La direction régionale Ile-de-France de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) a proposé, le 14 mai, un bilan en forme de rappel. Un mémo destiné aux entreprises afin qu'elles s'emparent des outils mis à leur disposition. Réseaux, subventions... L'agence souhaite qu’elles se saisissent davantage de ces instruments de transition écologique.
Dans une lettre adressée aux Amis de la Terre le 12 mai, puis publiée le lendemain sur son site Internet, la banque d'affaires annonce se retirer du mandat de conseil à la société indienne (en accès libre).
Conçu par CDC Biodiversité, en partenariat avec une trentaine d’entreprises, le Global Biodiversity Score (GBS) doit permettre aux acteurs du secteur privé de mesurer leur impact sur la détérioration des écosystèmes. L’outil sera opérationnel en 2020.
Les experts de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) publient ce lundi 6 mai le « résumé à l'intention des décideurs » de son rapport d’évaluation mondial de l’état de la biodiversité. Un rapport qui coïncide avec la tenue à Metz d’un G7 consacré à l’environnement. Pour faire face à l’érosion des écosystèmes, entreprises et investisseurs sont appelés à prendre leurs responsabilités dans la transformation de notre société. Mais "iI faut faire attention à ne pas développer un outil unique", commente Claire Tutenuit, directrice générale d'EpE.
Valorem prend la majorité du capital du second producteur d'électricité hydraulique dans l'île antillaise - malgré un potentiel de développement limité.
L’analyse simple et rapide du narratif des rapports extrafinanciers
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