Le 29 avril dernier, l’EFRAG a mis en consultation un premier volet de drafts de l’European sustainability reporting standards (ESRS), la norme d’application de la future directive sur le reporting extrafinancier dite CSRD. Un premier jeu de 13 documents qui présentent les principes ESG généraux et les éléments attendus - à la fois rétroactifs et prospectifs - pour chacun des 11 reporting areas. Un foisonnement qui, à ce stade, ne convainc pas l'AMF... Explications.
Après les notes ESG permettant de qualifier les (plus ou moins) bonnes pratiques et la gestion des risques extra-financiers des entreprises, Fitch Ratings développe un outil d’analyse prospective permettant d’évaluer l’exposition d’un portefeuille aux risques climatiques. Décryptage.
Si certains experts jugent le futur référentiel de reporting extrafinancier européen trop ambitieux pour rallier les suffrages des acteurs internationaux, l'Efrag veut au contraire montrer que son volet climat est largement compatible avec les travaux en la matière de la SEC et de l'ISSB.
Comme annoncé lors de la COP 26, l’International Sustainability Standards Board (ISSB) a travaillé à la conception d’une norme internationale du reporting extra-financier, dont le cadre conceptuel vient d’être présenté. Explications.
Dans une lettre adressée à la Commissaire Mairead McGuiness il y a quelques jours, Eurosif et les PRI appellent à l’adoption d’un texte de normalisation du reporting extrafinancier européen ambitieux sur le volet des plans de transition climatique. Explications.
Si les entreprises sont challengées sur leur adaptation à un monde +1,5°C ou 2°C, les scénarios de référence proposés par le Giec ou l'Agence internationale de l'énergie, permettent-ils aux entreprises de tester la robustesse de leurs stratégies ? Pas tout à fait, répond Romain Grandjean, Project Manager à Carbone 4 et porte-parole du projet IRIS, qui vise à réparer le manque de scénarios adaptés aux besoins des entreprises, et à former les instances dirigeantes à l’exercice crucial de prospectives climatiques... réalisables.
Après les risques liés au climat, les banques centrales et superviseurs des systèmes financiers commencent à se pencher sur la biodiversité et plus généralement sur les risques liés à la nature qui pourraient avoir des conséquences macroéconomiques majeures.
S'il ne s'agit pas encore d'un texte définitif, la Plateforme sur la finance durable a publié ce 30 mars un rapport pour préciser sa méthodologie et commencer à décliner les critères qui pourraient être retenus pour les objectifs environnementaux de la taxonomie verte européenne.
En attendant la publication du texte définitif d'ici quelques jours, la Plateforme sur la finance durable a présenté comme promis ce 28 mars les principales lignes de ses réflexions axées sur la mise en œuvre d'une classification évolutive de type "traffic light", permettant à la fois plus de granularité et de transparence sur les trajectoires climatiques, environnementales et sociales des émetteurs. Explications.
Membre de la Plateforme sur la finance durable pendant plusieurs années, la spécialiste de la finance verte Mireille Martini vient de quitter l’OCDE pour rejoindre l’équipe de la Climate Bond Initiative (CBI) en tant que Taxonomy Outreach Manager. Tirant les leçons des récents rebondissements politiques autour du gaz et du nucléaire, elle défend l’idée d’une taxonomie de marché globale, dont la gouvernance serait indépendante. Entretien.
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