Alors que la révision du Règlement REACH a été repoussée par la Commission européenne, les ONG s’inquiètent. De son côté, la France vient d’annoncer un plan d’action sur les PFAS, des produits chimiques qualifiés de "polluants éternels", et souhaite porter cet engagement à Bruxelles, avec des implications sur REACH… Retour sur une réglementation européenne en quatre points clés.
Présentées comme gagnantes à la fois pour la biodiversité et pour le climat, les solutions dites “fondées sur la nature” ont progressivement fait leur apparition dans les stratégies, législations et cadres internationaux de lutte contre le changement climatique et de conservation et restauration de la biodiversité. Mais le concept, qui répond à des critères précis, divise encore les ONG. L’essentiel pour comprendre en 4 questions clés.
Avant l’arrivée des ministres ce 15 décembre, les négociations avancent, avec la volonté pour les parties de trouver un consensus. Objectif : trouver un équilibre entre ambitions de préservation de la biodiversité... et renforcement des moyens financiers.
Alors que vient de s'ouvrir la COP15 à Montréal, Didier Bazile, chargé de mission Biodiversité auprès de la direction Recherche et Stratégie du CIRAD, souligne le risque de raisonner en silos au lien d'avoir une vision d'ensemble car les objectifs poursuivis interagissent entre eux. Un risque qui pourrait s'avérer contreproductif au moment où il s'agit au contraire, en dépit de l'absence de dirigeants politiques de premier rang, de renforcer une dynamique de préservation du vivant aujourd'hui mal en point.
Avec deux ans de retard sur l’agenda initial, la Conférence des parties sur la biodiversité vient de s’ouvrir à Montréal. L’objectif de ces 15 jours de négociations : parvenir à se mettre d’accord sur un cadre commun de préservation et de restauration de la biodiversité pour la décennie en cours. Décryptage des grands enjeux d’une COP15 aux allures de COP21 pour le climat… et de leur implication pour le secteur privé, qui y porte cette année un intérêt inédit.
Derrière une avalanche d’annonces et partenariats pour protéger les forêts, la COP 27 a mis en scène l’opposition entre deux visions, certains plaidant pour planter sans déforester, quand d’autres insistent sur la nécessité d’aller plus loin avec des mesures de conservation pour développer le financement des services écosystémiques rendus par les zones boisées.
L’initiative des Science-Based Targets a publié un très attendu référentiel méthodologique pour mieux refléter les particularités des entreprises opérant dans le secteur agroalimentaire, forêts ou dépendant fortement de l’usage des sols (Forest, Land and Agriculture en anglais, FLAG). Avec une évolution majeure : la possibilité pour elles de valoriser leur potentiel de séquestration carbone. Explications.
Ce mardi 4 octobre 2022 était lancée à l’Académie du climat l’Organization for Biodiversity Certificates (OBC), initiative dont l’ambition est de quantifier les bonnes pratiques en faveur de la biodiversité pour les valoriser financièrement, à l’image des crédits carbone. Explications.
Longtemps un angle mort des politiques de développement durable, la gestion de l'eau devient une préoccupation grandissante des entreprises dans un contexte de raréfaction de la ressource. Si certains secteurs ont mis en place des plans d'action, le chemin est encore long pour élaborer des démarches robustes, répondant à l'ensemble des enjeux, tant à la quantité d'eau consommée qu'à la qualité des eaux rejetées. Enquête.
Selon une étude de Callendar, le changement climatique va aggraver les risques d'incendie pesant sur les installations Seveso proches de forêts, qui deviennent un critère d'évaluation des risques environnementaux.
L’analyse simple et rapide du narratif des rapports extrafinanciers
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