Le développeur de projets de production d'énergie renouvelable (EnR), après le lancement cette année d'une centrale photovoltaïque flottante d'"origine contrôlée" et le lancement avec la MAIF d'un fonds de co-développement de projets agricoles et EnR, émet un nouveau green-bond destiné à refinancer à meilleur compte sa dette obligataire.
Il y a 5 mois, la place financière de Paris prenait l’engagement collectif de sortir du charbon. Alors que les annonces des banques et des assurances se multiplient et que se tiendra le Climate Finance Day ce 29 novembre, les ONG pointent du doigt le manque d’ambition de certaines politiques et s’inquiètent du risque de greenwashing. Impact, influence de la France ou encore rôle des investisseurs, décryptage des enjeux de la sortie du charbon avec Lucie Pinson, coordinatrice de la campagne Unfriend Coal et référente de la campagne finance privée des Amis de la Terre France.
Le 14 novembre, la Banque Européenne d’Investissement (BEI) annonçait qu’elle cesserait de financer les projets liés aux énergies fossiles à partir du 1er janvier 2022. L’ambition affichée, saluée par les ONG environnementales, sera scrutée à la loupe lors de sa révision de la stratégie climat de la BEI l’an prochain. En attendant, en accordant directement des prêts compétitifs aux entreprises, la BEI met déjà les banques commerciales sous pression.
L’entreprise nantaise, spécialisée dans l’intégration de solutions de méthanisation, a enregistré un gain de 20 % en Bourse pour son premier jour de cotation.
L’opération, dont les détails financiers n’ont pas été dévoilés, renforce la position de l’agence d'évaluation américaine sur le marché de la notation extra-financière.
La start-up française, qui a misé sur un mode de production responsable des œufs, vient de boucler un tour de table à 3,5 M€. L’opération a été réalisée auprès d'investisseurs à impact et territoriaux.
La start-up séduit un industriel et deux fonds de capital-risque pour déployer des méthaniseurs en containers - de petites unités adaptées à la collecte et à la digestion en zone urbanisée et en circuit court
Opérant sur les appareils électroménagers, la start-up mise sur une offre attractive d'auto-réparation et d'intervention par des professionnels plutôt que de mise au rebut.
Le (deuxième) fonds à impact géré par Mirova et levé avec sa filiale Althelia, spécialiste du "capital naturel", s'approche de son objectif de levée avec un second closing pour ce véhicule d'investissement dédié à la conservation et à la biodiversité marine, aux ressources halieutiques, et aux parties prenantes des économies côtières qui concentrent près de trois milliards d'individus dont 90% dans des pays en développement. Mais cette notion de capital naturel est encore très timidement abordée par les entreprises.
L'application de détection de la qualité nutritionnelle des plats par reconnaissance d'image lève un second tour de 4 M€ auprès d'un investisseur de la transition énergétique.
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