La start-up boucle un troisième tour pour industrialiser en France ses supercondensateurs électriques. A la clé, durée de vie allongée et recharge ultra-rapide des batteries pour applications légères.
La famille fondatrice du n°3 français de la propreté et du traitement des déchets reprend en main 100% de son capital.
Dans une étude publiée ce jour, S&P Global Ratings tire le bilan des émissions d'instruments de financement durables ces dernières années. Un marché mondial toujours dominé par les obligations vertes, mais marqué par de nombreuses innovations qui sont en forte croissance. Et souligne, pour les mécanismes ESG "non affectés", un risque de greenwashing.
Ce rapprochement permet à la jeune pousse lilloise de compléter son réseau de stations météo agricoles connectées et d'asseoir son développement européen.
Les banques et assureurs français sont-ils en mesure de faire face aux risques climatiques ? C’est la question à laquelle la Banque de France souhaite répondre. Fin 2019, son gouverneur annonçait la conduite de stress tests climatiques pour l’année 2020. Si la méthodologie de ces derniers n’est pas encore connue, la décision de la Banque de France s’inscrit dans un mouvement plus global des banques centrales, qui peu à peu s’emparent du sujet. Seul retour d’expérience à ce jour : celui de la DNB, aux Pays-Bas.
Le lyonnais les Détritivores s'adosse à la start-up les Alchimistes, eux-mêmes récemment soutenus par trois investisseurs à impact.
Avec une augmentation de près de 25% du nombre de fonds et de 44% des encours entre 2018 et 2019, le marché des fonds "durables" (label ISR, label Greenfin et fonds ESG) a connu l’année dernière une croissance soutenue, selon l’étude annuelle de Novethic, présentée le 10 février. Une dynamique qui bénéficie aux fonds thématiques, avec une forte accélération des fonds indiciels ESG et des fonds fonds "sociaux".
Spécialisée dans la réutilisation des invendus et déchets alimentaires, la jeune pousse "tech for good" ouvre son capital le fonds d’investissement d’un géant de l'agro-alimentaire.
Dans une récente étude, le géant français de la gestion d'actifs relève l'intérêt croissant pour les investisseurs d'intégrer des critères ESG dans la sélection de leurs portefeuilles obligataires. Et, côté entreprises, établit un lien positif entre la notation ESG des émetteurs et leur coût du capital.
Avec un premier bouclage à 115 M€ de ce nouveau véhicule d'investissement qui regroupe investisseurs privés et publics, la société de gestion vise à soutenir en minoritaire l'essor des projets français de gaz renouvelable et de méthanisation agricole.
L’analyse simple et rapide du narratif des rapports extrafinanciers
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