La généralisation des critères ESG (environnementaux, sociétaux et de gouvernance) ne cesse de gagner du terrain. Asset Owners ou Asset Managers, plus aucun acteur du marché n'aborde de manière superficielle ces sujets. Si le greenwhashing n'a pas totalement disparu, il s'efface de plus en plus derrière les contingences d'un marché toujours plus concurrentiel et internationalisé. Analyse.
La plateforme de financement participatif de projets initiés par des exploitations agricoles familiales et des TPE de l'agro-alimentaire renforce ses fonds propres pour densifier son maillage territorial et signer de nouveaux partenariats RSE avec les gros industriels du secteur.
Dans son 5ème rapport ESG, l'association française des investisseurs en capital (France Invest, ex-AFIC) publie la compilation des pratiques ESG de 122 sociétés de gestion. Revue de détail par classe d'actifs, en dette et en capital. Principal enseignement? Le ruissellement des critères ESG dans les 1450 sociétés financées recensées.
Alors que le gouvernement vient d'afficher un plan d'encouragement pour la filière, le spécialiste de la production et du stockage d'hydrogène avait levé plusieurs gros tours de capital risque avant d'entrer en bourse. Il s'adosse finalement à EDF pour développer les usages de l'hydrogène, dont la production est très consommatrice d'électricité.
Nouvelle consolidation du secteur. Après la Compagnie du Vent l'an dernier, Le développeur d'EnR indépendant breton passe dans le giron d'Engie.
Le fonds d'infrastructure français fait l'acquisition d'un intégrateur hollandais de bornes de recharge pour développer des corridors européens pour véhicules électriques
La société de gestion s'adresse aux institutionnels pour lever jusqu'à 750 M€ dans deux compartiments de "prêts à l'économie" à haut rendement, dont l'un reçoit le label TEEC. Objectif : moins de brun (brown) et plus d'énergies renouvelables, dont des réseaux de chaleur.
Nouvelle levée dans la mesure des polluants aériens. La start-up toulousaine a mis au point des objets connectés qui détectent gaz, particules, odeurs, humidité, bruits ambiants en milieu industriel ou tertiaire. Ses algorithmes peuvent devenir nez électronique ou détecteur d'explosifs. Elle vient de rassembler 2 M€.
La jeune pousse marseillaise créée en 2012 reçoit 2,4 M€ pour ses panneaux de toiture produisant à la fois de l'énergie électrique et thermique. Elle veut aller plus loin dans l'hybridation avec un fabricant de chaudières thermiques.
La tendance à mutualiser les équipements n'épargne pas le secteur agrcicole, où la tendance est à la baisse les coûts de possession de ses engins. La jeune pousse "AgTech" lilloise ConnectAgri relève un deuxième tour de 2,5 M€ avec deux investisseurs, pour exporter son boîtier connecté pour exploitants et coopératives qui collecte des données d'usage et de maintenance.
L’analyse simple et rapide du narratif des rapports extrafinanciers
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