Privatisations : les salariés en première ligne

Sophie Massieu | 02 Juillet 2018 | 857 mots

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Méthodes managériales brutales, disparition d’une culture d’entreprise ou d’une entreprise elle-même, mais aussi, parfois, modernisation d’un outil de production. Bonnes ou très néfastes, notamment selon que l’État se retire plus ou moins, les conséquences des privatisations concernent, au premier chef, les collaborateurs des sociétés concernées. Présentation de trois illustrations emblématiques, à l’heure où le projet de loi Pacte prévoit que l’État se désengagera en partie d’Engie, de La Française des jeux et d’ADP.

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Article - 02 Juillet 2018 - 857 mots

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